Bang & Olufsen Beosound Edge : enceinte sans fil diamètre XXL

25 septembre 2018


D’une taille inattendue pour une enceinte sans fil, cette Beosound Edge est conçu en partenariat avec le designer Michael Anastassiades

Bang & Olufsen Beosound Edge

S’appuyant sur la renommée mondiale de Michael Anastassiades dont quelques exemplaires des productions ont trouvé place dans les collections permanentes du MOMA, du Victoria and Albert Museum, et du FRAC à Orléans, Bang & Olufsen aborde l’enceinte de salon sans fil avec ambition. L’Edge est donc une enceinte parfaitement circulaire — de 50,2 cm de diamètre — qui peut être accrochée au mur comme une horloge SNCF ou simplement posée sur le sol. La diffusion sonore se fait normalement à 360° mais une option de contrôle directionnel, via l’application Bang & Olufsen, permet de définir la direction du son en créant deux zones acoustiques.

Bang & Olufsen Beosound Edge — détail

Les ingénieurs ont intégré dans l’enceinte deux médiums de 10,16 cm et deux tweeters de 1,9 cm, une paire sur chaque face, et un woofer de 24,5 cm à grande excursion. Pour la reproduction des graves, La Beosound Edge adopte, en fonction des niveaux sonores requis, une configuration close avec l’évent fermé par un clapet pour les bas volumes ou Bass-reflex avec l’évent dégagé automatiquement pour les forts niveaux. Esthétiquement la Beosound Edge est sobre avec un châssis circulaire en aluminium et des façades en tissu noir mat, en attendant d’autres couleur.

Bang & Olufsen Beosound Edge — détail

Les commandes tactiles, qui s’illuminent quand on approche la main, sont situées sur la tranche, et quand l’enceinte est posée sur le sol, il suffit de la faire rouler légèrement dans un sens ou dans l’autre pour varier le volume. Enfin, la Beosound Edge est équipé de l’’AirPlay 2, du Bluetooth et de Chromecast et peut être commandé par l’assistance vocale lorsqu’il est couplé à un haut-‐parleur compatible avec Google Assistant ou à un appareil Amazon Echo.

Bang & Olufsen Beosound Edge

« Le changement soudain de profondeur donne à l’objet un aspect tout à fait surréaliste. Un espace entre les deux matériaux aurait permis une certaine tolérance. S’il y avait eu un jour entre les deux matériaux il aurait pu y avoir une tolérance. Ici, la tolérance est absente et l’espace entre les deux est inexistant, ce qui est absolument génial », affirme Michael Anastassiades. Et de poursuivre, au sujet du design de l’enceinte: «Nous avons cherché à distiller l’idée de couches successives que l’on ôte jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un objet à la pureté et à la simplicité manifestes. En effet, lorsque l’on se trouve face à un objet complexe, un impact initial se produit, mais une fois la nouveauté de cet impact dissipée, il ne reste rien. Les objets d’aspect simple ne suscitent pas cette première attirance. Il n’y a aucune perturbation visuelle. Mais lorsqu’on le voit pour la deuxième fois, on y prête soudain attention, et à la troisième rencontre, on est d’autant plus intrigué.»

  • Disponible au prix de 3 250 euros.

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