Dreamvision, marque spécialisée dans les vidéoprojecteurs et autrefois très active sur les écrans, lance un nouveau modèle dans sa “Spring Collection”, collection printemps.
Le Starlight 3 bénéficie d’un très beau châssis rouge “pétant” dessiné par Antoine Béon. Cela le distingue des autres modèles de la gamme Starlight qui ne sont disponible qu’en noir ou blanc.
Il repose sur la technologie LCoS, dont il embarque trois matrices, une technologie qui permet un niveau de noir hallucinant et un taux de contraste natif de 70 000:1; plus de deux fois celui d’un Starlight 1. La luminosité est correcte mais sans plus, avec 900 lumens, ce qui correspond parfaitement à une utilisation cinéma à 5 mètres de l’écran.
Destiné à l’intégration et à être installé par un professionnel, le Starlight 3 dispose d’un port RS-232, et d’un menu de calibration uniquement accessible par un revendeur qualifié. Neuf profils sont selectionnables par l’utilisateur, dont un “TH-PRO”, qui calque le projecteur sur les caractéristiques D-Cinema, norme de projection… cinéma.
Le processeur vidéo est assez évolué, avec une interpolation de mouvements 120 Hz Crystal Motion, et un procédé d’amélioration des noirs True Cinema Black.
En somme, un produit qui n’est pas sans rappeler l’excellent JVC DLA-HD990 dont il est, vraisemblablement, dérivé.
Disponible pour 12 000€.